Du texte, des cadres et des informations sur un support constituent la plaque machine. C'est pourquoi, via un éditeur en ligne, un questionnaire nous allons avoir besoin de ces données.
La photo d'une plaque existante aide et fait un excellent point de départ.
On peut penser pour la conception qu'un logiciel de PAO (Publication Assistée par Ordinateur) suffit et le tour est joué.
C'est presque ça.
Vous rajoutez un logiciel de FAO (Fabrication Assistée par Ordinateur) qui va permettre d'intégrer les données variables et de piloter les graveuses.
Chez GravoMéca à ce stade, on aime rajouter le bon à graver, un fichier .pdf qui va permettre de vérifier toutes les informations et le graphisme avant d'aller plus loin.
Quand tout est ok, c'est la gravure qui commence.
Ici deux mondes: gravure mécanique ou gravure laser, dans les deux cas c'est sans encre, indélébile car inscrit dans la matière.
GravoMéca maîtrise les deux technologies.
Historiquement, faire voler du copeau est notre métier. La fraise coupe avec précision la matière à partir des fichiers, l'atelier est vivant: les graveuses mécaniques CNC ronronnent.
La révolution du laser date du début du siècle, aujourd'hui l'atelier dispose d'autant de graveuses mécaniques que de graveuses laser.
Laser CO2 pour les matières organiques: bois, acrylique et l'anodisation de l'alu et laser fibre pour le métal.
C'est très rapide, précis et fin.
Enfin, c'est la finition avant le contrôle avec le bon à graver validé, l'emballage et l'expédition et vous n'avez plus qu'à les utiliser.
Vous êtes plutôt: plaques contructeurs prêtes à frapper ou plaques contructeurs prêtes à poser ?